Cette journée de la Chaire Fertiberia permettra d’analyser des moyens d’atténuer les émissions de GES, à travers l’exposition de cas d’étude
- Dans la lignée des principales conclusions de la COP28 sur le besoin de réduire de façon rapide et soutenue les émissions de GES pour limiter le réchauffement climatique à 1,5 ºC, l’industrie européenne des fertilisants s’est engagée à diminuer ses émissions de GES de 70 % pour 2040.
- L’ouverture de l’événement sera menée par Ana Rodríguez, directrice générale de Productions et marchés agraires du ministère de l’Agriculture, de la Pêche et de l’Alimentation d’Espagne ; José Manuel Palacios, directeur de l’ETSIAAB de l’Université polytechnique de Madrid, et Javier Goñi, CEO de Grupo Fertiberia.
Madrid, le 27/02/2024 – Sous le titre « Secteur des Fertilisants : stratégies de décarbonation », la Chaire Fertiberia d’études agro-environnementales organisera le 21 mars prochain sa 15e journée, qui permettra d’aborder des moyens d’atténuer les émissions de gaz à effet de serre (GES) dans le secteur des fertilisants.
Cette journée vise à analyser, dans le domaine des fertilisants, des mesures possibles pour réduire de façon rapide et soutenue les émissions de gaz à effet de serre dans l’atmosphère et limiter le réchauffement climatique à un maximum de 1,5 °C, deux objectifs qui ont été établis lors de la Conférence sur les changements climatiques 2023 de l’ONU (COP28).
La COP28 qui s’est tenue récemment a été l’occasion de ratifier les objectifs de réduction des émissions mondiales de GES de 43 % pour 2030 et de 60 % pour 2035, par rapport aux niveaux de 2019, en vue d’atteindre un taux zéro d’émissions nettes de dioxyde de carbone en 2050. En accord avec cette finalité, l’industrie européenne des fertilisants s’est engagée à adopter des mesures permettant d’atténuer les émissions de 70 % pour 2040 par rapport à 2020 et à atteindre la neutralité climatique en 2050.
- L’ouverture de l’événement, qui se déroulera à l’École technique supérieure d’ingénierie agronomique, alimentaire et de biosystèmes (Avenida Puerta de Hierro, Madrid) sera menée par Ana Rodríguez, directrice générale de Productions et marchés agraires du ministère de l’Agriculture, de la Pêche et de l’Alimentation d’Espagne ; José Manuel Palacios, directeur de l’ETSIAAB de l’Université polytechnique de Madrid et Javier Goñi, CEO de Grupo Fertiberia.
- Parmi les aspects essentiels de l’accord de Dubaï sur lesquels le secteur des fertilisants s’est déjà mis à l’œuvre figurent l’augmentation de l’utilisation des énergies renouvelables en remplacement des combustibles fossiles, le développement des technologies propres et la réduction de gaz différents du CO₂, comme le méthane, pour 2030.
Ces pratiques seront analysées au cours de la journée de la Chaire Fertiberia d’études agro-environnementales, à travers des cas d’étude concrets. Nous pouvons mentionner notamment le projet de production d’hydrogène et d’ammoniac verts pour l’élaboration de fertilisants à faible intensité de carbone, dirigé par Fertiberia, ou la technologie pionnière NSAFE développée par l’entreprise, le premier bio-inhibiteur qui réduit les pertes d’azote, tout en protégeant la biodiversité du sol.
Cette journée comptera les interventions de Javier Goñi del Cacho, CEO de Grupo Fertiberia ; José Ramón Conde, professeur du département de Production agraire de l’ETSIAAB ; Christian Cerezo, Agro Lead SWE de PEPSICO, Belén Lostao, membre du département de Durabilité d’entreprise d’ACCIONA et Javier González, directeur d’Innovation agronomique de Grupo Fertiberia.
Inscrivez-vous ici :
- Écrivez à carmen.abad@fertiberia.es.
Informations complémentaires :
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* En espagnol.
